[Spoilers] Ainsi donc le dernier adieu vient de commencer. La très attendue première partie de The End of Time, le Doctor Who spécial de Noël et du Nouvel An, marque le début de la dernière apparition de David Tennant en tant que dixième Docteur.
Quelque chose de mauvais est sur le chemin de Noël et c'est pire que les Sycorax, les Rachnos ou le spécial de Noël de You've been Framed! (1) Est-ce notre psychopathe favori, Le Maître? L'ancien blairesque et jokeresque Premier Ministre (John Simm de retour, pour un "trip of a lifetime") est ramené à la vie par une poignée d'adorateurs avec l'assistance involontaire de Lucy Saxon (Alexandra Moen) - enfermée dans son petit Guantanamo privé.
Le processus de resurrection ne se passe pas comme prévu car maintenant Le Maître mange comme Gordon Ramsay s'exprime dans sa cuisine. Quelqu'un est néanmoins intéressé, l'écrivain renommé Joshua Naismith (David Harewood) qui observe et attend avec sa fille Abigail (Tracy Ifeachor). « Noël est annulé » dit l'homme, qui n'a pas la moindre idée de combien il a raison. Des idiots et des fous...
Le Docteur est averti du drame à venir et sa mission (il ne peut que l'accepter) est d'essayer d'arrêter son pire ennemi avec sa propre Impossible Mission Force: ce bon vieux Wilf - le grand-père de Donna (le grand Bernard Cribbins) et sa "force de frappe" d'amis retraités. Ca ne pourrait pas être pire? Pas si sûr... Donna (Catherine Tate) est fiancée et ne doit en aucun cas se rappeler du Docteur et de ses aventures avec lui. Et le Docteur sait qu'il va mourir. Bonne chance.
La fin du temps. La fin de l'ère Russell T. Davies en tant que showrunner du mythe qu'il a réinventé en 2005. Des moments magiques, des moments épiques, des triomphes, de la magnificence, des histoires formidables, des moments qui resteront dans la grande Histoire de la télévision. Des moments difficiles aussi, comme cette saison 4 décevante (au moins dans sa seconde moitié), une régénération avortée inélégante et un final terrible suivi de spéciaux inégaux.
The Next Doctor était brillant sauf que David Morrissey n'était pas ce... Next Doctor. Planet of the Dead était - comment présenter la chose? - à oublier. Et The Waters of Mars était un vrai soulagement, même après 30 minutes d'embarassants flashbacks d'un film italien de zombies des années 1980 (bon, d'accord... Un film italien de zombies des années 1980 pour heure de grande écoute).
Le Doctor et Wilf ont de mauvais rêves et une mission. Les autres protagonistes ont leurs propres projets, leurs doux rêves. Some of them want to use you, some of them want to get used by you, etc (souvenez vous d'Eurythmics). Certains manipulent, certains sont manipulés mais le sont-ils vraiment? C'est juste une question de goût.
L'étoffe dont les rêves sont faits. L'étoffe des légendes (Timothy Dalton et June Whitfield sont de la fête). Nous verrons bien si Russell T. Davies peut "maîtriser" le cliffhanger de cette première partie. Les Toclafanes étaient des Jelly Babies comparé à ce qui arrive à la race humaine ce Noël.
Quelque chose de mauvais arrive sur le chemin de la fin du temps. Et qui en connaît plus sur le temps que le narrateur de cette histoire et son auditoire?
Sweet dreams are made of this.
(1) Vidéo Gag en plus affligeant.
Critique de la deuxième partie: http://thierryattard.blogspot.com/2010/01/very-bad-trip.html
Quelque chose de mauvais est sur le chemin de Noël et c'est pire que les Sycorax, les Rachnos ou le spécial de Noël de You've been Framed! (1) Est-ce notre psychopathe favori, Le Maître? L'ancien blairesque et jokeresque Premier Ministre (John Simm de retour, pour un "trip of a lifetime") est ramené à la vie par une poignée d'adorateurs avec l'assistance involontaire de Lucy Saxon (Alexandra Moen) - enfermée dans son petit Guantanamo privé.
Le processus de resurrection ne se passe pas comme prévu car maintenant Le Maître mange comme Gordon Ramsay s'exprime dans sa cuisine. Quelqu'un est néanmoins intéressé, l'écrivain renommé Joshua Naismith (David Harewood) qui observe et attend avec sa fille Abigail (Tracy Ifeachor). « Noël est annulé » dit l'homme, qui n'a pas la moindre idée de combien il a raison. Des idiots et des fous...
Le Docteur est averti du drame à venir et sa mission (il ne peut que l'accepter) est d'essayer d'arrêter son pire ennemi avec sa propre Impossible Mission Force: ce bon vieux Wilf - le grand-père de Donna (le grand Bernard Cribbins) et sa "force de frappe" d'amis retraités. Ca ne pourrait pas être pire? Pas si sûr... Donna (Catherine Tate) est fiancée et ne doit en aucun cas se rappeler du Docteur et de ses aventures avec lui. Et le Docteur sait qu'il va mourir. Bonne chance.
La fin du temps. La fin de l'ère Russell T. Davies en tant que showrunner du mythe qu'il a réinventé en 2005. Des moments magiques, des moments épiques, des triomphes, de la magnificence, des histoires formidables, des moments qui resteront dans la grande Histoire de la télévision. Des moments difficiles aussi, comme cette saison 4 décevante (au moins dans sa seconde moitié), une régénération avortée inélégante et un final terrible suivi de spéciaux inégaux.
The Next Doctor était brillant sauf que David Morrissey n'était pas ce... Next Doctor. Planet of the Dead était - comment présenter la chose? - à oublier. Et The Waters of Mars était un vrai soulagement, même après 30 minutes d'embarassants flashbacks d'un film italien de zombies des années 1980 (bon, d'accord... Un film italien de zombies des années 1980 pour heure de grande écoute).
Le Doctor et Wilf ont de mauvais rêves et une mission. Les autres protagonistes ont leurs propres projets, leurs doux rêves. Some of them want to use you, some of them want to get used by you, etc (souvenez vous d'Eurythmics). Certains manipulent, certains sont manipulés mais le sont-ils vraiment? C'est juste une question de goût.
L'étoffe dont les rêves sont faits. L'étoffe des légendes (Timothy Dalton et June Whitfield sont de la fête). Nous verrons bien si Russell T. Davies peut "maîtriser" le cliffhanger de cette première partie. Les Toclafanes étaient des Jelly Babies comparé à ce qui arrive à la race humaine ce Noël.
Quelque chose de mauvais arrive sur le chemin de la fin du temps. Et qui en connaît plus sur le temps que le narrateur de cette histoire et son auditoire?
Sweet dreams are made of this.
(1) Vidéo Gag en plus affligeant.
Critique de la deuxième partie: http://thierryattard.blogspot.com/2010/01/very-bad-trip.html
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