ABC débranche la version américaine de Life on Mars. Un final devrait expliquer comment Sam Tyler a remonté le temps et (peut-être) le ramener à son époque (http://www.digitalspy.co.uk/ustv/a148359/abc-axes-life-on-mars-after-one-season.html).
En novembre 2008, votre humble serviteur écrivait: « Adapter des formats étrangers ne sera certainement pas la solution aux problèmes des grilles de cet automne ou de la saison entière. Voyez ABC et son Life on Mars US... Mais quel est donc l'intérêt d'adapter des séries que les télespectateurs américains connaissent déjà grâce à BBC America ou internet? Est-ce que les responsables de la programmation croient que les séries britanniques sont toujours ghettoïsées sur PBS ou reléguées à des deals bon marché pour la syndication? » (http://thierryattard.blogspot.com/2008/11/la-cabeza-de-alfredo-garcia_20.html). Mais ABC persiste à vouloir adapter des formats étrangers, les séries argentines sont le parfum de la saison prochaine (http://thierryattard.blogspot.com/2009/03/six-pieds-vous-connaissez-la-suite.html), et le réseau va faire un remake de la série britannique d'ITV No heroics.
En vérité il n'était pas nécessaire d'être médium pour deviner quel sort attendait le Life on Mars américain: deux pilotes (pensez-y, le début de Life on Mars a fait l'objet d'un double remake!), le producteur renommé David Kelley quittant cette adaptation, des changements majeurs de distribution, avec le remplacement de Colm Meaney par Harvey Keitel dans le rôle du Gene Hunt US, voire des erreurs de casting, avec Michael Imperioli non distribué sur Hunt. Un déménagement de Los Angeles à New York, et une nouvelle équipe de production. Mais par dessus tout, Jason O'Mara (Sam Tyler) et Harvey Keitel avaient la mission impossible de reprendre des rôles interprétés par John Simm (imaginez le pauvre Russell Crowe dans la version cinématographique de State of Play) et Philip Glenister.
Les compagnies de production britanniques devraient louer leurs lieux de tournage - à la manière des producteurs du jeu Fort Boyard, pour aider les réseaux américains à essayer de concevoir des adaptations convenables de leurs séries. Plus sérieusement, La Chica de ayer, le Life on Mars espagnol, a l'air bien plus intéressant avec son approche culturelle et historique hispanique (http://thierryattard.blogspot.com/2009/02/la-chica-de-ayer-le-life-on-mars.html). Il faut apporter plus que le concept transposé avec des acteurs et des lieux de tournage américains.
Dieu merci, Harvey Keitel, un des acteurs américains les plus talentueux, n'a pas essayé l'accent britannique. Peut-être sur Demons US?
En novembre 2008, votre humble serviteur écrivait: « Adapter des formats étrangers ne sera certainement pas la solution aux problèmes des grilles de cet automne ou de la saison entière. Voyez ABC et son Life on Mars US... Mais quel est donc l'intérêt d'adapter des séries que les télespectateurs américains connaissent déjà grâce à BBC America ou internet? Est-ce que les responsables de la programmation croient que les séries britanniques sont toujours ghettoïsées sur PBS ou reléguées à des deals bon marché pour la syndication? » (http://thierryattard.blogspot.com/2008/11/la-cabeza-de-alfredo-garcia_20.html). Mais ABC persiste à vouloir adapter des formats étrangers, les séries argentines sont le parfum de la saison prochaine (http://thierryattard.blogspot.com/2009/03/six-pieds-vous-connaissez-la-suite.html), et le réseau va faire un remake de la série britannique d'ITV No heroics.
En vérité il n'était pas nécessaire d'être médium pour deviner quel sort attendait le Life on Mars américain: deux pilotes (pensez-y, le début de Life on Mars a fait l'objet d'un double remake!), le producteur renommé David Kelley quittant cette adaptation, des changements majeurs de distribution, avec le remplacement de Colm Meaney par Harvey Keitel dans le rôle du Gene Hunt US, voire des erreurs de casting, avec Michael Imperioli non distribué sur Hunt. Un déménagement de Los Angeles à New York, et une nouvelle équipe de production. Mais par dessus tout, Jason O'Mara (Sam Tyler) et Harvey Keitel avaient la mission impossible de reprendre des rôles interprétés par John Simm (imaginez le pauvre Russell Crowe dans la version cinématographique de State of Play) et Philip Glenister.
Les compagnies de production britanniques devraient louer leurs lieux de tournage - à la manière des producteurs du jeu Fort Boyard, pour aider les réseaux américains à essayer de concevoir des adaptations convenables de leurs séries. Plus sérieusement, La Chica de ayer, le Life on Mars espagnol, a l'air bien plus intéressant avec son approche culturelle et historique hispanique (http://thierryattard.blogspot.com/2009/02/la-chica-de-ayer-le-life-on-mars.html). Il faut apporter plus que le concept transposé avec des acteurs et des lieux de tournage américains.
Dieu merci, Harvey Keitel, un des acteurs américains les plus talentueux, n'a pas essayé l'accent britannique. Peut-être sur Demons US?
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