lundi 24 janvier 2011

MISSION CASSE-COU

[22 janvier 2011] Les Arnaqueurs VIP (Hustle) - Saison 7, Episode 3. Marcus Wendell (Michael Brandon), un Américain qui possède des casinos ainsi que la réputation d'attraper les arnaqueurs la main dans le sac, est à Londres afin d'ouvrir un nouvel établissement. Il prétend que Charlie Stroller, l'arrière grand-père d'Albert (Robert Vaughn) était le premier tricheur attrapé par ses ancètres.

Albert veut redorer le blason de Charlie avec l'aide de Mickey (Adrian Lester). Mais Marcus sait tout d'eux et du reste de l'équipe.

Retour de la série dans la flamboyance après l'épisode peu intéressant de la semaine dernière. Hustle est un Mission: Impossible moderne et, comme Chris Bucknall la saison précédente, le scénariste James Payne l'a bien compris. Payne crèe l'adversaire le plus redoutable de Mickey et l'équipe depuis Toby Baxter (Patrick Bergin) dans la saison 5: Marcus Wendell, interprété par le grand Michael Brandon (Mission casse-cou). Marcus est un propriétaire de casino intelligent mais arrogant. Il tire une immense fierté du fait que les fondateurs de son empire on couvert l'"arrière grand-pappy" d'Albert Stroller de honte.

Mickey le considère comme l'égal de l'équipe car l'homme connaît tous les trucs de leur métier. Clive Ban, un faussaire génial mais grincheux (Roger Lloyd-Pack au sommet de son art), une roulette du 19ème siècle, un GPS et une fausse vente aux enchères vont-ils suffire à éviter que nos arnaqueurs favoris finissent leurs carrières sur le mur d'indignité des Wendell (les photos de tous les tricheurs attrapés par la famille). Du pur Les Arnaqueurs VIP au top, avec Sean (Matt Di Angelo) heureusement moins discret que les deux dernières semaines et du très grand Ash. Comment ce fait-il d'ailleurs que Robert Glenister ne soit pas déjà l'acteur principal d'une nouvelle série de la BBC ou d'ITV?

C'est agréable de voir Robert Vaughn en grande forme, rappelant le Napoleon Solo du Retour des Agents très spéciaux. Le réalisateur Roger Goldby évite le côté "Monty Berman/ITC" de Birmingham déguisé en Londres avec de bonnes idées visuelles et un nombre décent d'effets informatiques. Le rebondissement est comme souvent à la limite du tiré par les cheveux mas ça ne gâche pas le plaisir, et il y a même une belle scène de conversation entre Mickey et Albert ("The humiliation of the father") avec une superbe musique incidente.

La semaine prochaine: Chris Bucknall va t-il nous étonner comme l'année dernière?

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